Les fortes pluies et la baisse de la température totale de l'air ont provoqué une humidité du sol si intense dans certains champs de blé canadien que l'état des cultures s'est considérablement détérioré au cours du dernier mois.
Cet août a été un véritable test pour les cultures dans certains territoires du Canada.
En conséquence, la semaine dernière, les analystes estimaient que seulement 67% des cultures étaient en bon et excellent état, tandis qu'un an plus tôt, le même état avait été enregistré dans 80% des terres agricoles canadiennes par rapport à la même période.
Surtout en raison des vicissitudes de la météo, le blé de printemps. Dans ce cas, nous parlons de la détérioration de vingt-neuf pour cent de la superficie totale du champ.
Heureusement, les champs de blé d'hiver et de grains de blé dur (dont, par exemple, les pâtes et les gruaux de boulgour de haute qualité) montrent une amélioration des performances. Et même si seulement un pour cent (de quarante-trois pour cent à quarante-quatre), même une telle croissance inspire de l'espoir aux agriculteurs locaux.
Il ne sera pas inutile de noter qu'en raison de l'influence des pluies et du refroidissement au Canada, l'état des cultures d'orge au Canada n'est jugé bon et excellent que dans 70% des champs.